C’est avec une immense tristesse que nous avons appris ce 1er septembre la disparition de Geneviève de Ternant.
Écrivain, poète, historienne, auteur de nombreux ouvrages, Geneviève de Ternant nous laisse de splendides poèmes, notamment réunis dans Passe-Muscade et Poèmes dans la tourmente, recueil qui reçut un prix de l’Académie française.
Mais elle était aussi l’auteur de L’Agonie d’Oran, ce bouleversant ouvrage en trois volumes qui a mis en mots la tragédie du 5 juillet. Grâce a elle, cet épouvantable drame ne pourra jamais être complétement occulté.
Femme de grand courage, de convictions fortes, elle était une référence.
C’est une icone que nous perdons. nous sommes en deuil.
En ce moment, il est impossible de ne pas évoquer deux grandes figures associées à elle, et comme elle des combattantes, Joseph Hattab Pacha et Anne Cazal.
A tous trois nous devons reconnaissance et gratitude pour l’œuvre qu’ils ont accomplie.
Denis Fadda
Les Obsèques de Geneviève de Ternant auront lieu le Mercredi 6 Septembre à 14h30, en l’Eglise du Sacré Cœur, 22 Rue de France à Nice.
A l’issue d’une réunion qui s’est tenue à Paris le mercredi 25 novembre et qui rassemblait les fédérations et associations directement concernées par la question, a été adoptée la plate-forme commune des Rapatriés pour la sauvegarde des cimetières Chrétiens et Juifs d’Algérie.
Réunion cimetières du 25 novembre à la Maison des Rapatriés, Paris
A Toulon, le Mémorial des Marins morts pour la France.
Question N° 63875, posée par M. le député Bacquet Jean-Paul, le 17 11 09
Le maire de Rueil-Malmaison a débaptisé le square du 19 mars
Question N° 60382, posée par M. le Député Elie Aboud, le 13 10 09.
Réponse du 24 11 09
Question N° 47581, posée par M. le député Habib David, le 28 04 09, et réponse du 10 11 2009
Lettre ouverte du Général François Lescel à monsieur le maire de Saint-Dizier-Au-Mont-D’or, pour son inauguration de "l’Allée du 19 mars, cessez le feu en Algérie".
Question N° 63372, posée par M. le député Christian Kert, le 10 11 2009
Témoignage du Général François Meyer sur la réalité du drame des Harkis