Vendredi 16 octobre 2020, la France horrifiée découvrait le visage de Samuel Paty, professeur d’histoire -géographie, et père de famille, décapité par un islamiste ne supportant pas la liberté de penser de nos enseignants...
Certains ont prétendu que le FLN respectait les enseignants et les écoles...Cette liste montre que cela est faux.
Vous trouverez ci-dessous l’histoire, réelle, des porte-drapeaux, anciens combattants, de Mostaganem pendant la guerre d’Algérie.
Ce récit édifiant, dévoile les exactions du FLN sur les Anciens Combattants Français Musulmans...
Pour ceux qui n’ont pas lu "Harkis, soldats abandonnés", publié par XO en 2012, Voici le témoignage publié dans l’album, recueilli par Brigitte X.
C’est le seul article où je raconte nos relations avec les harkis, en Algérie et en France.
Manquent quelques photos.
Maurice Faivre
« J’ai suivant les ordres que je recevais, multiplié les
efforts pour engager les éléments musulmans à nos côtés
et leur donner les garanties touchant la protection que
leur assurerait, en toute hypothèse, La France. Le 3
juillet, tout ce que j’avais ainsi dit s’est trouvé
définitivement bafoué ou renié. Il m’en reste une
blessure qui m’a enlevé le repos. » Général Casenave.
On peut faire des colloques rassemblant FLN et porteurs de valises qui s’auto-congratulent en souvenir du temps lointain des illusions, et de la collaboration, mais il est des tristes bilans qui parlent d’eux-même. Ceci est le bilan des activités du FLN en Métropole aggravé lourdement par 8 années de sang en Algérie.
Cette année du cinquantenaire, nous reporte en 1962, année sans loi ni morale, année du chemin de croix des Français d’Algérie, année du "Cessez-le-feu" lié à jamais à ces deux frères martyrs...
Que prévoyaient les accords d’Evian pour les Harkis ? Comment se sont comportées l’Algérie et la France ?....
Le terme harki constitue une appellation recouvrant une réalité complexe et hétérogène : l’ensemble des musulmans, qu’ils soient armés ou civils, restés fidèles à la France pendant la guerre d’Algérie.