Les Européens d’Algérie - Pieds-Noirs (origine des peuplements, démographie, genre de vie, identité, culture, l’exode ; depuis 1962…),
Un texte très intéressant sur ces composantes multiples de ce peuple qui gardera toujours la fierté d’avoir contribué à la naissance de leur Pays : l’Algérie
27 juin 1962-Oran- Les assassinats, les enlèvements, les attentats, tout pousse les Oranais à partir pour sauver leur vie, qui ne dépend que des rotations de bateaux....La mauvaise volonté de de gaulle à sauver ses populations, les grèves et autres initiatives ayant pour but d’empêcher le sauvetage de ces naufragés, a fait réagir le gouvernement Espagnol, plus à même d’éprouver de l’empathie pour des Français dans la souffrance...Geste dont ne fut pas capable notre président....
Un superbe historique de la ferveur à Notre Dame, la Vierge Marie, que les Français d’Algérie, dans les basiliques de NDA à Alger, à Santa Cruz d’Oran, et autres lieux de recueillement dans toute notre Algérie, ont gardé dans leurs cœurs, comme un témoignage douloureux, de leur identité. Remercions le travail de Simone Gautier...
Très belle évocation de notre gâteau de Pâques, La Mona. Manuel Rodriguez nous rappelle les origines de cette tradition si chère aux Oranais...
Réquisitoire très lucide du Colonel Bastien-Thiry sur la politique de De gaulle...
Nous essaierons dans cette rubrique de mettre en lumière, certains grands champions qui ont contribué à donner une renommée certaine aux sports d’Afrique du Nord.
Une évocation d’une période glorieuse du Cyclisme d’Afrique du Nord...
Une délégation de la Municipalité d’Oran, conduite par le maire Henri Fouques-Duparc, se rend à son tour à Lyon où elle est accueillie par Monsieur Edouard Herriot, le 2 décembre 1956.
Des centaines de milliers d’hommes, de femmes, enfants, de vieillards vont, sous la menace du FLN, quitter leur terre, leurs clochers, leurs villages, leurs racines algériennes, écrasés par le poids de l’histoire qui s’écrivait sans eux, hébétés de chagrin, pour se retrouver sur la Mère Patrie, que l’on pensait accueillante et généreuse.
Cela a été souvent le cas, mais pas toujours. Vraiment pas....
J’avais ce beau poème d’un auteur inconnu, sans vraiment le voir, devant mes yeux depuis longtemps... Puis, je l’ai vraiment lu, puis relu, et j’ai enfin entendu son cri d’amour...
Amour pour son Pays, pour sa Patrie, pour tous les amis qui croisent notre vie, et pour toutes ces petites choses du quotidien qui rendaient heureux et donnaient ce si profond sentiment d’appartenance...