C’est avec une très grande tristesse que nous avons appris la disparition de Claude Rochette, ancien membre du Conseil d’administration du CLAN R. Courageux en Algérie Française, il l’a été aussi en Métropole où il a mené un combat déterminé au service de la cause des Harkis comme à la mémoire des victimes du 26 mars 1962 à Alger.
Pour que la Vérité, à leur sujet, enfin éclate, il avait crée l’association « Souvenir du 26 mars 1962 ». Homme de foi, il avait aussi fondé le Mémorial Notre Dame d’Afrique à Théoule ; ce site est aujourd’hui un lieu de pèlerinage important.
Nous ne dirons jamais assez ce que Claude a apporté aux Français d Algérie de toutes confessions et à leur Mémoire.
Ses obsèques auront lieu le 17 mai à Pertuis (Vaucluse) à 14 heures en l’église Saint Nicolas.
Nous adressons nos sincères condoléances à son épouse et à sa famille.
CLAN R
Emmanuel Macron s’obstine à refuser de voir que la France, l’Algérie et le Rwanda ne parlent pas de la même chose quand est évoquée la question mémorielle.
Certains médias, par pure idéologie, s’acharnent parfois à salir la mémoire de nos soldats.
Une fois de plus, nous avons pu rendre hommage aux victimes du 26 mars 1962
Cérémonie organisée par L’ASSOCIATION DES FAMILLES DES VICTIMES DU 26 MARS 1962
Des voix de plus en plus nombreuses, dénoncent le silence indécent, devant le crime ignoble, dont les Algérois, ont été les victimes innocentes
Ici où là, une voix s’élève, sortant de cette masse, bêlant une pensée unique, et cette voix, nous dit que l’Histoire, quelle qu’elle soit, doit se regarder en face, sans honte ni faiblesse. Mais le chemin de la Vérité, doit se faire à deux...
La Municipalité de Perpignan, par l’intermédiaire de son maire, Louis Alliot, a décidé de montrer ce qu’est la réalité "du cessez le feu du 19 mars 1962..."
Parce qu’il n’est jamais inutile de rappeler une réalité enfouie, en mettant de la chair au terme de "disparu", le bouleversant témoignage d’André Aussignac sur son enlèvement et ses conditions de détention par le FLN, en complète violation des "accords d’Evian", et du "cessez le feu" du 19 mars 1962, illustre avec embarras une des pages tragiques d’un "mensonge d’état".