L’ASAF communique...
LETTRE MENSUELLE de L’ASAF 12/11
Madame, Monsieur,
1- Je vous adresse ci-dessous la lettre ASAF de novembre : "Un devoir de vérité".
L’ASAF estime urgent que l’opinion publique soit mieux informée des conséquences qu’entraînerait une réduction supplémentaire des crédits alloués aux armées sur notre appareil de défense tant la situation au sein de nos forces est critique.
Les chefs d’état-major ont à la fois la légitimité et la compétence pour expliquer en direct aux Français l’état des lieux de notre armée qu’ils ont exposé récemment à la représentation nationale.
Il est en effet aujourd’hui indispensable que l’armée, par la voix de ses chefs, s’exprime pour être mieux connue et comprise, car la Défense est l’affaire tous les Français et demeure le premier devoir de l’État.
2- En allant sur le site de l’association (www.asafrance.fr) vous pourrez retrouver de nombreux articles dont la lettre ouverte que l’association a adressée au sénateur communiste Guy Fischer qui a cru bon d’insulter la mémoire du général Bigeard.
A cet égard, l’ASAF a eu honte pour la France de constater que le mot Algérie avait été banni du texte de l’hommage rendu par le ministre de la Défense lors de la cérémonie de Fréjus.
Pourtant le général Bigeard, après avoir combattu avec courage et détermination les nazis qui occupaient la France ou le vietminh qui cherchait à imposer le communisme en Indochine, l’a fait de la même façon contre les terroristes du FLN en Algérie.
Cette forme de repentance par omission mine inconsciemment la confiance des Français. Elle est inacceptable pour des hommes et des femmes d’honneur ; elle est à terme dangereuse, voire suicidaire pour notre pays.
Bien cordialement.
Henri Pinard Legry
Président de l’ASAF
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