Des réactions de personnalités qui ne commémoreront pas le 19 mars,
Michèle Tabarot, Député-maire Du Cannet , a par un communiqué sans ambiguïté donné son avis à ce sujet.
Monsieur Estrosi député-Maire de Nice a lui aussi trouvé les accents d’un refus que nos associations ont pu argumenter sans succès depuis 53 ans.
Monsieur Carayon Maire de Lavaur a lui aussi montré son étonnement que le chef de l’état vienne en personne entériner un fait historique qui n’a jamais eu lieu : le respect du cessez le feu et des accords d’Evian...
Monsieur le député Elie Aboud a également écrit au Président de a République
L’association ’REAGIR" de Madame Dupont-Tingaud a envoyé ce courrier à divers élus...
Madame Danielle Pister Agrégée de Lettres, Maître de Conférences des Universités Cum Merito-Université de lorraine
Présidentede l’Amicale des Pieds-Noirs de Moselle, vice-présidente du Cercle algerianiste de Champagne et du Grand-Est
Jean-Pierre Pister,
Agrégé d’Histoire, Professeur de Chaire supérieure honoraire-Khâgne, lycée H. Poincaré de Nancy.
L’ASAF, groupement 186 de la Fédération Maginot, ne participera pas à la manifestation du 19 mars dont la date résonne comme une insulte pour les combattants d’Algérie, du Maroc et de Tunisie "Morts pour la France". l’ASAF estime que la cérémonie du 19 mars, décidée en novembre 2012 contribue à diviser le monde combattant, puisque la cérémonie d’hommage pour les combattants d’Algérie, du Maroc et de Tunisie a été fixée en 2003, à la quasi unanimité et après une large consultation des associations d’anciens combattants, au 5 décembre.
Communiqué de l’ANOCR
L’ANOCR, fidèle à sa position permanente de refus des injustices et de l’oubli, s’associe pleinement à la position de l’UNC (Union nationale des combattants) et de la FNAM (Fédération nationale André Maginot).
La date du 19 mars a été arbitrairement choisie et ne saurait nous rassembler dans le souvenir de nos morts et des souffrances endurées.
VA (2s) Michel OLHAGARAY
Président de l’ANOCR
Monsieur le président devrait plutôt s’attacher à correspondre aux pans de l’histoire qui même s’ils n’amènent aucune gloire, ont cependant une réalité, comme le 26 mars ou le 5 juillet. Espérons que des conseillers historiques plus honnêtes, sauront lui parler de l’Histoire, celle qui fait mal, qui nous fait mal, mais qui n’est que l’Histoire de notre pays. Cette histoire qui dort dans les cartons d’archives, et qui serait tellement plus de nature à recommencer un vivre ensemble sous les auspices d’une vérité révélée.